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le soulier de satin

Le Soulier de Satin ou la nouvelle pantoufle de vair de Paul Claudel adaptation de Michel Autrand et Jean pierre Hané.

Le hasard a jeté, à la suite d’un naufrage, le jeune Don Rodrigue de Manacor sur la côte africaine ; le premier visage qui s’est offert à lui lorsqu’il a ouvert les yeux a été celui de Doña Prouhèze, l’épouse de Don Pélage, gouverneur général des Présides. Un amour absolu est né entre les deux jeunes gens.

Parallèlement à cette intrigue, Doña Musique, une nièce de Don Pélage, part de son côté, guidée par un fantasque Sergent Napolitain, à la rencontre d’un mystérieux vice-roi de Naples.

Comme une gourmandise, l’adaptation de Michel Autrand et de Jean pierre Hané du « Soulier de Satin version 1h30 », nous invite à déguster l’œuvre original de Paul Claudel. C’est pourquoi avec la compagnie du Catogan, a tout de suite éprouvé cette envie folle de partager ce conte féérique.

Les fantaisies de tchékhov

La demande en mariage / L’ours

Lomov, un jeune propriétaire hypocondriaque à l’excès, se présente chez son voisin, Tchouboukhov, pour demander en mariage Natalia Stepanovna, sa fille. Le prétendant, la fille et son père sont des gens charmants mais très susceptibles… On s’emporte vite, on s’invective, on se déchire, on se querelle allègrement avec une mauvaise foi évidente. Très mouvementé, drôle… c’est jubilatoire !

Une phénoménale leçon de théâtre ! Un pur enchantement !

En montant cette pièce de jeunesse du grand Anton, écrites à l’âge de 28 ans. Les personnages de Tchékhov nous ravissent, nous passionnent.

Nous allons énormément rire, à suivre les aventures des protagonistes de cette farce. Le sociologue qu’est Tchékhov, avec son regard acéré sur ses concitoyens va s’en donner à cœur joie. Car bien entendu, nous sommes au-delà de la pure farce, certes drôlissime… Nous assistons à une peinture féroce et néanmoins très réaliste de la société russe du moment.

Ce sont des gens attachés à leur terre qui sont mis en scène. La propriété foncière va générer bien des péripéties et des situations de pure comédie.

Le BGG

Le Bon Gros Géant est une histoire d’amitié entre une petite fille et un gentil géant au vocabulaire étrange, mais on y retrouve également quelques éléments autobiographiques de l’auteur. Le BGG, comme le surnomme affectueusement Sophie la jeune héroïne, est un géant pacifique vivant au Pays des géants. Il s’aventure la nuit dans notre monde afin de souffler de jolis rêves aux enfants endormis à l’aide de sa trompette. Lorsque la petite orpheline l’aperçoit une nuit, il l’emporte avec lui dans son pays merveilleux, de peur qu’elle ne révèle l’existence des géants aux hommes. Une amitié profonde naîtra entre la petite fille débrouillarde et le Bon Gros Géant, et les deux compères mettront tout en œuvre pour vaincre les géants mangeurs d’hommes qui tiennent lieu de voisins au BGG et projettent de se nourrir d’enfants.

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